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 Haley James |Un sourire n'est qu'un masque qui cache la mélancolie et la haine| [Validée - Jaina]

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Haley James

Haley James

Messages : 67
Date d'inscription : 13/02/2011
Age : 43
Localisation : Arkan City - Quartiers Est

Informations complémentaires
Inventaire:
Faction rejointe: [Indépendant(e)]
Signes particuliers:

Haley James |Un sourire n'est qu'un masque qui cache la mélancolie et la haine| [Validée - Jaina] Empty
MessageSujet: Haley James |Un sourire n'est qu'un masque qui cache la mélancolie et la haine| [Validée - Jaina]   Haley James |Un sourire n'est qu'un masque qui cache la mélancolie et la haine| [Validée - Jaina] Icon_minitimeSam 26 Fév - 21:52


DOSSIER DEHaley James



INFORMATIONS PRINCIPALES


Haley James |Un sourire n'est qu'un masque qui cache la mélancolie et la haine| [Validée - Jaina] Vavah210
Featuring Keira Knightley

  • Nom : James
  • Prénom : Haley
  • Âge : 30 ans
  • Sexe : Féminin
  • Lieu de naissance : Vienne - Autriche
  • Faction rejointe : Indépendante
  • Poste désiré : Ancienne tueuse à gage, devenue écrivain et poète



INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES



  • Situation familiale : Fille unique
  • Situation personnelle : Célibataire
  • Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
  • Formation : Diplômée de la Faculté historique et de Science culturelle de l'Université de Vienne, docteur en Lettres modernes
  • Poste(s) occupé(s) avant l'intégration : Tueuse à gages au service de la Mafia Rouge


DESCRIPTION


  • Description physique :

    Avec son ancien emploi qui demandait de bonnes capacités physiques, Haley est une jeune femme fine et élancée, aux muscles nerveux. Sa taille moyenne l'aide à se fondre dans la masse, ne cherchant d'ailleurs jamais en s'en distinguer. La démarche souple, évitant au maximum les contacts pendant ses flâneries, elle passe entre les êtres sans un bruit, un frôlement. Son regard sombre, aussi noir que de la suie, enregistre la moindre chose qui se passe autour d'elle. Le visage légèrement ovale au teint très pâle, un bouche bien dessinée aux coins recourbées dans un grand sourire, l'œil rieur, on voit en premier lieu une Haley tout à fait sympathique et emplie d'une énergie inépuisable. Ce masque affiché en société plait par son espièglerie discrète et ce sourire semblant ineffaçable. Une fois que la jeune femme a réussi à fuir la compagnie des autres, son expression se transforme littéralement. Le sourire s'efface, le regard s'éteint. Elle n'exprime plus que du dédain et de l'indifférence pour ce qui se passe autour d'elle. Ses yeux sombres regardent ailleurs, voyant des choses que personne ne peut voir. C'est sous ce vrai visage qu'un artiste à un jour remarqué sa beauté discrète, faisant d'elle sa muse en se gardant bien de lui dire. Elle cache souvent son air rêveur sous sa lourde chevelure noire, tombant en cascade sur ses épaules, le nez en l'air. Haley s'habille très simplement, sa tenue mêle l'élégant au pratique, en effet la jeune femme a rapidement compris que des escarpins dans cette ville où il fallait parfois courir pour sauver sa vie, ce n'était pas conseillé, elle favorise les pantalons et les chemises, les robes servant de ramasse poussière dans son armoire. En toute saison, elle revêt un pardessus bleu marine, dans la poche intérieure est accrochée la décoration de l'Ordre impérial de Léopold, une médaille autrichienne qui lui fut donnée le jour où elle sauva in extrémis les membres du gouvernement d'un attentat. Cette médaille qui en théorie n'est plus décernée, elle la reçut dans la discrétion absolue. Ainsi, la jeune femme évite de l'afficher, n'en tirant d'ailleurs aucune fierté. Il lui arrive de porter un chapeau melon les jours humides.


  • Qualités : La principale qualité de Haley est sa discrétion. Ce que vous lui dites ne sera jamais répandu à travers la ville. Confiez lui une tâche, personne ne sera au courant. La jeune femme a développé cette capacité grâce à son travail avec la Mafia Rouge. Une fois que sa confiance vous est accordée, elle se révèle être d'une personnalité très douce et compréhensive. Dans les pires situations, elle est capable de tout pour sauver les personnes auxquelles elle tient, laissant les autres se débrouiller bien gentiment. C'est dans sa conversation que l'on remarque la culture très étendue de ce petit bout de femme, sa curiosité pour le monde des lettres ne connait absolument aucune limite, elle dévore les livres plus qu'elle ne les lit, passant des journées plongée dans des ouvrages. Elle partage volontiers ses connaissances, échange ses idées, dès que la personne en face d'elle lui semble intéressante. Le second trait positif de son caractère est sa patience et son courage.
  • Défauts : Renfermée, peu bavarde en général, distante. Haley est ce que l'on appelle une misanthrope. Elle évite le plus possible de se retrouver dans des endroits trop fréquentés, elle cherche la solitude et fuit les bains de foule. Timide aussi, elle se laisse aborder plus facilement qu'elle ne va aller à la rencontre de quelqu'un. Gagner sa confiance est une tâche difficile, Haley se montre cassante et froide avant de se montrer sympathique, c'est une façon à elle de se protéger du monde extérieur et impitoyable d'Arkan.


BIOGRAPHIE


« Haley, tu es folle !
- Heureusement que je le suis, sinon je pourrais jamais faire ça! »

Elle sauta du haut de son immeuble, fondant dans les ténèbres, laissant derrière elle sa meilleure amie. Pourquoi quitter ainsi sa vie en plaquant tout derrière elle ? Parce qu'elle en avait marre. Marre de tout. Vienne, la ville qui l'avait charmée, n'avait plus la moindre attraction sur elle. Alors elle partait. Se rattrapant de justesse à une branche, elle regarda l'appartement du bas occupé par ses parents qui surveillaient chacun de ses mouvements. Pour y échapper, elle avait failli se casser le cou. Qu'importe. Un sac en bandoulière, elle s'enfonça dans la nuit. Destination Arkan City. Elle avait choisi cette ville au hasard, le nom lui plaisait bien. Ce soir là, Haley abandonna tout derrière elle. En guise de représailles, ses anciens collègues tuèrent père et mère, en sachant bien que cela ne ferait ni chaud ni froid à la fugitive. Elle partait avec dans sa tête, suffisamment d'informations pour mettre la Mafia Rouge dans une très mauvaise posture.
Arrivée dans la ville, Haley fut submergée par une étrange sensation. Comme si elle ne pourrait plus jamais en sortir. Lorsqu'elle vit les quelques cadavres qui ornaient des ruelles sombres, elle comprit que ses chances de survie étaient...limitées. Impassible, elle se dégota un petit appartement au dernier étage d'un grand immeuble qu'elle décora de quelques tableaux et qui déborda rapidement de livres. Il n'y avait qu'une arme chez elle, enfin deux. Mais le pistolet de son grand-père était beaucoup trop vieux pour s'en servir, l'inconscient qui appuierait sur la gâchette le verrait exploser entre ses mains. La seconde arme, parfaitement utilisable celle-ci, était un beretta 92fs de neuf millimètres. Rangée dans le tiroir de sa table de nuit, il attendait paisiblement que quelque chose se passe. Posé sur le lit, le Macintosh avait sur son écran de veille une photo de Vienne au lever du soleil. Le capharnaüm ambiant laissait voir un des défauts de la jeune femme : son manque d'organisation total. Ce qui ne l'a gênait nullement d'ailleurs, puisqu'elle se retrouvait parfaitement bien. Une petite pièce bien illuminée lui servait de refuge pour peindre, écrire ou encore composer, quand l'envie lui en prenait. Haley se trouva très bien dans cette ville. Les rares fois où elle avait été agressée par quelques fous furieux, elle avait ne fallait pas l'embêter. En gros, elle les tuait proprement.
La ville dégageait quelque chose qui la fascinait. Plus d'une fois, elle trouva des cadavres aux frontières qui séparent cette antichambre de l'Enfer du reste du monde. Curieuse, elle se demandait si la ville n'était pas une sorte d'entité supérieure qui gardait jalousement ses habitants. Dans le fond, cela lui importait peu. Elle voulait simplement vivoter tranquillement. Que personne ne la dérange dans l'obscurité où son esprit se plaisait à flâner. Laissant ses pas la guider même dans les coins aux fréquentations douteuses, se sortant toujours sans casse des situations complexes, elle se plut en quelques jours à Arkan. Un jour de pluie, elle s'installa dans son atelier, assise dans un coin et écrivit sans réfléchir cédant à son envie de voir son crayon courir sur le papier.

« Il est de ces jours où l'on se demande si on a envie de rester ici, ici ou là, là ou là-bas. L'endroit importe peu puisque c'est une envie de mouvement. Bouger pour aller nul part. Que ce nul part soit ici ou ailleurs, cela non plus, ce n'est pas important. Avoir envie de mouvement dans l'immobilité totale de la ville. Vouloir sortir de sa prison de bâtiments et de rues, qui ne font que donner une sensation de liberté. Liberté. Ce nom si glorieux n'a pas de sens. C'est une femme morte que la ville a rejeté. Dont le sang se mêle aux plaintes des damnés dont la tentative de sortie s'est soldée par une mort brutale. La masse grouillante se complait dans la crasse et la noirceur des rues où la nuit les démons sont de sortie. Où sommes-nous ? Il n'existe de ville plus infestée que celle-ci. Cette gangrène aux mille poisons plus vicieux les uns que les autres. Non, on ne vit pas ici. On survit. Chaque jour, chaque nuit, on survit. Le prix de la vie est au rabais. Tuer ne devient plus un acte de folie mais une nécessité. C'est un retour à la nature primitive et sauvage de l'humain. Et dans la contorsion des corps convulsés, on retrouve les positions torturées des nouveaux nés. Ici, la terre est de rubis, le ciel est de charbon. L'être évolue dans ce monde bicolore où il cherche en vain à trouver des nuances pour se rappeler dehors, l'ailleurs qui l'a jeté ici. Jeté, rejeté. Est-il possible qu'une routine s'installe là où le simple fait d'ouvrir sa fenêtre peut nous faire devenir cible de quelque tueur à gages mal dégrossi dans son humanité ? Chacun est susceptible de se nourrir du sang de son voisin, sans en avoir conscience. Personne n'est innocent, tout le monde est coupable. Si la lumière du jour chasse dans les souterrains suintant d'humidité les créatures obscures, la nuit les rappelle à la surface et leur offre sur un plateau les malheureux trainards qui s'attardent trop tard. C'est une ville où la faiblesse n'est pas tolérée. Il faut être fort ou être protégé par des forts. Sinon, il ne faut se bercer d'illusions : la survie ne devient alors qu'une question de chance. Et peut-on laisser une place à la chance dans une ville maudite. Maudite ville ! Courir vite ou tuer bien. Mais pas mourir digne. Si ma fin doit être ici, elle le sera je le sais, je veux que ce soit la ville elle-même qui me tue. Je veux qu'elle m'oppresse et m'écrase jusqu'au bout. Y parviendras-tu ? Peut être. Peut être pas. L'incertitude m'est coutumière. Je mourrai ici, ici ou là, là ou là-bas, là-bas mais pas ailleurs. »

Haley redressa la tête. Le rideau de pluie qui tombait du ciel semblait la couper du monde. Un éclat de lumière illumina les quelques tableaux accrochés aux murs, qu'ils soient terminés ou non, tous étaient des représentations de la ville. L'un d'eux se dressait à côté de la large fenêtre qui donnait une vue imprenable sur la cathédrale. Il représentait la flèche, haute et fière, qui perçait le ciel un jour où les rayons du soleil s'était amusé à jouer avec les gargouilles. La jeune femme était assez satisfaite de ce tableau, qu'elle hésitait à mettre en vente. Plus tard peut être, mais pas tout de suite. La lumière semblait sortir de la toile, comme si la réalité avait été emprisonnée sous les coups de pinceau. Le crayon reprit sa course, plus paisible, rythmé par la mélodie des gouttes de plus tombant sur le toit.

« C'est par ce temps de pluie que les souvenirs me rattrapent. Des souvenirs de la Faculté. Des souvenirs de Vienne. Ah Vienne, ma Vienne chérie. Pourquoi t'ai-je quittée ? J'ai quelques regrets. Pas assez cependant pour me faire partir. Arkan n'est pas une ville. C'est un piège. Voilà ce que je ressens en ce moment. Je n'y accorde pas d'importance à ce piège, de toute façon il est trop tard, je suis tombée dedans. Cette ville a du bon. Je n'ai jamais pu trouver une telle solitude chez toi, ma Vienne adorée. Ici, je suis bien. Les ténèbres sont omniprésentes, elles planent au-dessus de la foule, elles enveloppent chaque être et l'étranglent jusqu'à ce qu'ils tentent de s'enfuir, finissant par mourir. J'aime cette ville autant que je t'ai aimé toi, chère Vienne. J'espère un jour te revoir. Mais je sais que c'est sans espoir.
Stanislas m'a appelé hier soir. Cela faisait longtemps que nous ne nous étions pas parler. Depuis que je suis partie. Je me souviens de toutes les missions que nous avons rempli ensemble. C'était un véritable plaisir de travailler avec lui. Et Elena. Je n'ai jamais vu une Russe plus sobre que celle-ci. Dans un pays où la vodka est boisson nationale, elle n'y a pas touché une fois dans sa vie. A présent, elle n'en aura sans doute plus jamais l'occasion. Stan' m'a appelé pour m'annoncer son décès. Les Italiens sont forts. Très forts. A chaque fois que nous avons eu l'occasion de les rencontrer pour quelques petites explications à main armée, nous avons bien failli y laisser la vie. Elena a oublié qu'il faut toujours achever un ennemi. En lui laissant la vie, elle est morte. Cruel paradoxe. Juste retour des choses. Il n'y pas de place pour l'erreur. A Arkan, c'est un peu pareil. Mais je me garde bien de me mêler aux affaires obscures. Je me contente de les observer. Les principes restent les mêmes ici comme ailleurs.
En rangeant ma bibliothèque, j'ai retrouvé des livres de la Faculté, et dans l'un d'eux mon diplôme. Pas vraiment émue, je l'ai rangé avec le reste de la paperasse qui attend d'être classée. Avec mes honnêtes revenus de tueuse, je n'ai pas eu besoin de chercher du travail, je ne compte pas l'écriture puisque j'écris avec plaisir. Mes comptes sont pleins. Financièrement, je suis tranquille. Socialement aussi du reste, si à Vienne je ne pouvais être seule autant que je le voulais, à Arkan personne ne vient m'ennuyer. Il m'arrive de regarder par la fenêtre toute cette foule qui passe. Sans intérêt.
J'ai déjà publié deux recueils de poèmes dans cette ville. Le résultat a été très satisfaisant. Mon éditeur ne croyait pas que la poésie eut une chance, et pourtant. En ce moment, je travaille sur un autre recueil, de nouvelles cette fois-ci. J'y mêle un peu la philosophie. L'action de la troisième nouvelle, que j'achèverai sans doute dans un ou deux jours, se déroule à Vienne. Je veux que les descriptions soient poignantes. Que le lecteur en lisant ces mots se retrouve dans cette ville. Que ce soit une porte ouverte sur l'extérieur du piège.
Il pleut toujours. La pluie bat contre le carreau. Dire que j'ai laissé une petite peinture dehors pour qu'elle sèche au soleil. Je peux voir la couleur devenue liquide glisser le long des tuiles et s'enfuir par la gouttière. Je ne sais même plus ce que j'y avais peint. Ma foi, ce ne devait pas être transcendant alors. Il faut que je pense à me racheter des aquarelles. Et une imprimante, l'autre traitresse m'a lâchement lâché. La guitare que j'ai commandé ne devrait pas tarder à arriver. J'ai décidé de me remettre à la musique. Pour reprendre, la guitare me semble être le meilleur instrument. Je pourrai travailler ma voix aussi.
Sur ce, je vais nourrir mon chat avant qu'il ne commence à manger les plantes vertes... Je n'ai jamais vu un félin aussi stupide dès qu'il s'agit de nourriture. La dernière fois, il a mordu dans un cactus... J'ai encore moi-même du mal à y croire... Enfin... Je le retrouve félin féroce uniquement dans les situations d'urgence extrême. Et je dois avouer que je suis contente de l'avoir avec moi. C'est un compagnon paisible au pelage noir et luisant, au regard jaune malsain. Il y a de la poésie dans sa manière de sauter sur le canapé. Lui aussi, il s'est bien adapté à Arkan. »

Elle posa crayon et bloc sur une table basse, déjà couverte d'ouvrages traitant des grands peintres. Quittant la pièce d'un pas silencieux, elle alla dans sa cuisine où le chat l'attendait, impatient. Après lui avoir servi son repas, Haley s'accouda à une fenêtre et perdit son regard dans les rues sombres de la ville détrempée par la pluie incessante. Rêveuse, elle fredonnait.

« Les regrets fillettes du pauvre poète se valsent musette dans les caboulots, se valse musette le pauvre poète pour les gigolettes et les gigolos... »


INFORMATIONS PERSONNELLES


  • Comment avez-vous découvert le forum? Grâce à J.
  • Vos horaires de connexion?Dès que le temps me le permet.
  • Multinick? Peut être, peut être pas.
  • Le jeu par MJ : [X]Oui []Non (mettre une croix dans l'espace désiré)
  • Votre pseudo : Haley
  • Avez-vous quelque chose à rajouter?
Non.


Dernière édition par Haley James le Jeu 3 Mar - 16:25, édité 1 fois
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Jaina D'Arcy
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Jaina D'Arcy

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MessageSujet: Re: Haley James |Un sourire n'est qu'un masque qui cache la mélancolie et la haine| [Validée - Jaina]   Haley James |Un sourire n'est qu'un masque qui cache la mélancolie et la haine| [Validée - Jaina] Icon_minitimeLun 28 Fév - 0:00

Mon Dieu j'ai dû refaire tous les sauts de ligne, je pense que tu es maudite x_X.

Bienvenue parmi nous, un grand merci pour ton inscription.

Je te rajoute au groupe, je valide ta présentation, la passe dans l'endroit approprié et tu peux désormais jouer.

Il est conseillé de faire différentes demandes :



Eventuellement, active ta feuille personnage (c'est gadget, c'est pour ça qu'on adore)

A ta disposition pour toutes questions,
J.
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https://rebirth-rpg.forums-actifs.com
Haley James

Haley James

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MessageSujet: Re: Haley James |Un sourire n'est qu'un masque qui cache la mélancolie et la haine| [Validée - Jaina]   Haley James |Un sourire n'est qu'un masque qui cache la mélancolie et la haine| [Validée - Jaina] Icon_minitimeLun 28 Fév - 16:28

Oui, je pense aussi que je suis maudite xD En tout cas, merci pour ton aide sans laquelle la malédiction m'aurait achevé.

Je m'occupe de tout cela dès aujourd'hui !

Merci encore J. Smile

[3/03/11] J'ai apporté quelques modifications à la biographie, rien de très important, juste quelques petits paragraphes.
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MessageSujet: Re: Haley James |Un sourire n'est qu'un masque qui cache la mélancolie et la haine| [Validée - Jaina]   Haley James |Un sourire n'est qu'un masque qui cache la mélancolie et la haine| [Validée - Jaina] Icon_minitime

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Haley James |Un sourire n'est qu'un masque qui cache la mélancolie et la haine| [Validée - Jaina]

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